Et voilà que les bouses volent

14 mai 2015 à 19 h 11 min

Pépère Jacques Chirac aimait à dire que « les cons c’est comme les emmerdes, ça vole toujours en escadrille », mais à cette époque il n’imaginait pas que les bouses puissent voler en solitaire. Peut-être que maintenant, avec l’âge et les chaos de sa santé, si.

Pas de Mirage ni de technologie à la Dassaut, pas de blague, pas d’hallucination, pas de magie, pas de sur-méthanisation, faut-il être « élu » pour en être le spectateur privilégié, sûrement, mais pas n’importe quel Elu.

En vous connectant pour lire le récit « des bouses qui volent », vous saurez que pas loin de Gap, sur Céuzette précisément, comment le miracle s’est produit.

 

texte paru sur le périodique « lou Semenaïre  » d’avril 2015